Le Royaume de Siam fait partie des destinations privilégiées par les grands et les petits investisseurs, à l’international.Investir en Thaïlande, c’est profiter d’une qualité de vie extraordinaire tout en réalisant un investissement très rentable.
Voici le mode d’emploi et des informations essentielles pour passer du rêve à la réalité, dans les meilleures conditions.
Avant même d’entamer sa recherche d’un bien, il importe de bien définir son projet afin de déterminer le but de votre investissement c’est ce qui déterminera le type de biens à privilégier et sa localisation.
Est ce un projet de villégiature (pour y vivre à l’année) ? un projet d’investissement locatif (afin de bénéficier de revenus locatifs réguliers et garantis) ou bien un « mix » des deux : dans le but d’y passer plusieurs semaines ou mois par an et louer son bien lorsqu’il est disponible.
Il est possible, par exemple, de bénéficier de garanties locatives qui vous assurent le versement de loyers mensuels ou annuels par contrat.
Si vous optez pour un logement dans une résidence avec management hôtelier, une rentabilité de l’ordre de 6 à 10 % avec des engagements contractuels des promoteurs, est envisageable.
Autre point important, sur le plan financier, il est important de savoir que les banques thaïlandaises n’accordent pas de crédits à des étrangers (sauf si vous êtes résident en Thaïlande et avez des revenus sur place).
Le marché de l’immobilier en Thaïlande est florissant. Il bénéficie pleinement du dynamisme économique du pays ainsi que de l’excellente santé du tourisme. Des milliards de dollars sont investis pour soutenir cette croissance et cette attractivité, notamment dans les infrastructures.
Au registre des atouts, le marché est :
Le contexte général est donc très séduisant.
Mais comme partout dans le monde, il importe de se faire accompagner par un expert (agent immobilier, avocat, conseil juridique) afin de bénéficier de conseils avisés et d’éviter de mauvaises surprises.
Le fait de ne pas maîtriser le thaï, de ne pas connaître les lois qui encadrent l’immobilier ou tout simplement de méconnaître le marché local (et ses évolutions programmées), sont autant d’écueils et de sources de difficultés, voire d’ennuis.
Se faire accompagner d’un spécialiste de l’immobilier en Thaïlande, qui parle votre langue, est d’autant plus important qu’il saura également vous apporter des réponses personnalisées dans des domaines comme la fiscalité, par exemple.
La première phase consiste à faire son choix dans une offre particulièrement riche.
Dés lors que votre choix est acté sur un appartement ou une villa alors la procédure de vente est enclenchée :
Votre conseiller se charge ensuite d’obtenir et de valider toute une série de documents : contrat de réservation, copie de passeport , reçu du deposit...En cas d’achat d’un appartement, il s’assure également que le quota d’étrangers n’est pas dépassé (voir réglementation).Les vérifications faites et le contrat rédigé, un rendez-vous est pris pour la signature.
Vous pourrez alors, dans un second temps, un compte bancaire en Thaïlande afin de pouvoir virer les fonds nécessaires. Ce compte vous servira également, à percevoir vos loyers, le cas échéant.
Vous serez alors propriétaire et recevrez à ce titre, tous les documents l’attestant ainsi que les clés de votre bien. La procédure totale de la transaction peut être réglée en un mois selon et la disponibilité des documents requis.
Il faut compter entre 1% et 6% de frais de transfert selon si vous achetez en pleine propriété ou en « leasehold » (outre le montant des honoraires d’un avocat, si vous faites appel aux services de l’un d’entre eux.
Ils se répartissent entre 4 taxes différentes et sont partagés à parts égales entre le vendeur et l’acheteur.
Pour un étranger, il est tout à fait possible de devenir propriétaire d’un bien en Thaïlande, mais cela impose de respecter certaines conditions.
Pour acheter un appartement, il faut impérativement que ce bien soit situé dans une résidence de types condominium et dans ce cas,2 possibilités s’offrent a vous :
Pour l’achat d’une villa (ou d’une maison), il faut savoir qu’un étranger ne peut pas acheter un terrain, en son nom propre.
En revanche, il a la possibilité d’acheter en « leasehold », qui un bail de location, concernant le terrain uniquement, pour une durée de 30 ans, renouvelable 2 fois, et d’y faire construire une maison dont il sera pleinement le propriétaire.
Elle est particulièrement douce. Les revenus fonciers subissent un taux de fiscalité qui tourne autour de 12 % du revenu annuel (cela varie selon les provinces).
Mais c’est généralement moins, dans les faits.
Il faut savoir également qu’il n’y a pas de taxe d’habitation, ni de taxes foncières à régler.
En ce qui concerne les charges, tout dépend des résidences, mais elles sont très faibles comparativement à celles facturées en Europe.
L’imposition sur la plus-value lors de la revente est également attractive : maximum 20% de la plus-value avant abattements par année de détention.
Pas d’impôts sur la plus value si vous détenez le bien depuis plus de 5 ans.
Pas de droit de succession dans une limite de 100 millions de bath( 2M600 euros), au delà desquels l’imposition est de 5 a10% maximum.
La faiblesse de la fiscalité ajoutée à l’excellent rapport qualité/prix de l’immobilier thaïlandais, participent à l’attrait des rendements locatifs qui peuvent atteindre 10% dans les cas d’un investisse ment locatif dans une résidence hôtelière.